Turquie : Les dépouilles des deux algériennes décédées dans le séisme en Turquie, inhuméesTurquie :

Les corps de deux (2) victimes algériennes décédées dans le séisme qui a frappé dernièrement le Sud la Turquie, ont été inhumés samedi, au cimetière de Bouzourane dans la wilaya de Batna.

L’inhumation des défuntes s’est déroulée en présence de la famille, ainsi que des autorités locales civiles et militaires, à leur tête le wali Mohamed Benmalek et une foule nombreuse de citoyens.

Les condoléances ont été présentées au domicile de la famille des défuntes, Samiha Srairi (44 ans) et sa fille Hadil Berber (13 ans), à la cité Lembarkia (Parc-à-Fourrage) où la famille frappée par ce deuil a exprimé sa gratitude au président de la République M. Abdelmadjid Tebboune, pour les facilités qui ont été accordées à divers niveaux, en particulier pour le rapatriement des corps.

Source 15 /02/2023 : la NR

Mali : Les familles des victimes du crash d’Air Algérie exigent le rapatriement de restes à Ouagadougou

Les familles des victimes du vol AH 5017 d’Air Algérie, qui s’est écrasé il y a un an jour pour jour au Mali, ont exigé vendredi le rapatriement de corps en Algérie à Ouagadougou des restes non-identifiés de leurs proches, enterrés à Bamako. Un rapatriement de corps du Mali aura lieu. « J’appelle de tous mes voeux à ce que les restes post-mortem non identifiés de nos proches enterrés dans un cimetière à Bamako soient rapatriés à Ouagadougou », a déclaré Delphine Tricot, présidente de l’association des victimes françaises, AH5017 Ensemble, lors des cérémonies marquant dans la capitale burkinabé le premier anniversaire de l’accident. La majeure partie des restes humains avait été envoyée en France pour identification après le crash de l’avion, qui devait relier Ouagadougou à Alger, avant d’être retournée en janvier aux familles. Les restes non-identifiés ont été enterrés dans un cimetière de la capitale malienne. « Même si l’Etat malien est dans son bon droit (…), nous souhaitons voir ces corps rapatriés à Ouagadougou. C’est notre priorité absolue », a-t-elle poursuivi, « ils doivent rester d’où ils sont partis. »  Source et suite de l’article http://www.jeuneafrique.com/